Aujourd’hui parlons recrutement, mais pas n’importe lequel, focus sur le sujet du moment : recruter sans CV. Et oui, ces dernières...
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Simplifier l'identification des soft skills dans toutes les expériences
Face aux transformations, capitaliser sur l'humain
Notre monde est en pleine mutation. Le XXIème siècle a marqué un tournant majeur dans la société, apportant son lot de révolution : le développement de l’informatique, d’internet, de l’intelligence artificielle et de la robotisation révolutionne le monde du travail. Au-delà de cette transformation technologique, c’est notre rapport entier au travail qui évolue.
Alors que l’on passait au début du XXème siècle plus de 50% de notre temps à travailler, le temps passé au travail ne représente plus que 11% de notre vie. Il n’est pas étonnant que l’on se retrouve à construire collectivement un nouvel équilibre vie pro / vie perso. Et ces changements nous amènent à repenser l’organisation et le rapport au travail.
Mais alors au milieu de tout ça, comment préparer son avenir professionnel sachant que la seule certitude que l’on peut avoir c’est qu’il sera différent de notre passé ?
Identifier les soft skills dans l'expérience pro comme perso !
Il n’est plus à prouver que l’on apprends mieux quand on fait, c’est ce que l’on appelle l’apprentissage expérientiel. Et c’est encore plus vrai quand on cherche à développer les compétences humaines, elles paraissent si flous. Comment les cerner, les évaluer sinon en les observant en situation ?
On peut être tenté de multiplier les simulations et les expériences immersives, et c’est une bonne solution. Mais alors il est important de considérer toutes les expériences ! Prenez-vous en compte celles qui font parties de notre quotidien ? Saviez-vous qu’elles représentent plus de 50% de notre temps de vie ?
Est-ce qu’un parent calmant une crise de larmes au milieu de la nuit n’est pas l’exemple même d’une mise en situation stressante challengeant autant sa capacité à gérer ses émotions qu’à communiquer clairement ou prendre des décisions sous pression ?
Est-ce qu’un athlète qui échoue face au but en final des Jeux Olympique et qui célèbre sa médaille d’argent n’est pas l’exemple même de la prise de recul, et de sa capacité à changer de point de vue pour replacer les choses dans leur environnement, pour remplacer la déception par la fierté d’avoir tout donné ?
Est-ce que ces compétences ne sont pas celles que nous recherchons aujourd’hui chez nos leaders, nos managers, nos collègues pour nous aider à faire face aux transformations de la société et de nos entreprises ?
Et si cela vaut pour le sport et la parentalité, que dire de nos voyages, nos rencontres, nos loisirs, les accidents de la vie et tout ce qui constitue notre quotidien ?